Il y a une nouvelle tendance qui soutient l'employé buvant sur le travail. La question est maintenant comment peut la commande de compagnies il et non laissé lui les mordre sur le bout ?
Quand une compagnie développe les politiques des employés qui soutiennent la zéro-tolérance du boire au travail et à l'abus de substance, elles le font pour la sûreté de leurs employés, pour assurer la qualité des services ou des produits qu'elles fournissent et pour favoriser la productivité des employés. Aprés tous, il y a soutien répandu général de l'idée que l'alcool et les drogues altérent la capacité d'une personne d'effectuer la plupart des tâches journaliéres, sans compter ceux qui pourrait exiger la compétence spéciale.
Indépendamment de ce fait, un article de nouvelles récent de Bloomberg, des «boissons alcoolisées fait le retour au travail comme Silicon Valley tape Kegerators IPad-Lié» (Ryan Flinn, 13 mars 2011), quelques nouveaux joueurs sur le marché des affaires tel que le jappement, Twitter et CrowdFlower ont choisi de pardonner le boire sur le travail en fournissant leurs employés la biére et, dans certains cas, d'autres boissons alcoolisées. Le raisonnement est qu'ils sont tous les adultes et agiront de façon responsable. En outre, car un directeur au jappement le met tellement habilement, «si vous êtes au dessus du conseil de chef uniformément, je ne sais pas si c'est un endroit que vous voudriez pour être. » Il se rapportant à l'application d'iPad est fixé dans le barillet qui enregistre chaque once qu'ils boivent.
Quelques mots sur l'alcool des experts
D'abord, un grand chauffe, rond des applaudissements pour les organismes qui traitent leurs employés comme des adultes. Il se produit trop rarement. Ainsi, félicitations.
Qu'étant dit, chaque personne sur le travail doit se demander s'il veut travailler à côté de quelqu'un qui, tout en ne montrant aucun signe évident d'intoxication, pourrait être même légérement mentalement altéré par les effets du boire au travail. Ajouter à ceci le fait que plusieurs des compagnies citées dans l'article de Bloomberg ont indiqué que le boire se produit quand les employés sont déjà altérés par de longues heures de travail, et le probléme est intensifié.
Selon le Conseil américain pour l'éducation de drogue (ACDE) plus de 70 pour cent de trompeurs de substance sont employés. Ainsi à moins qu'un employeur sache tout au sujet de chaque employé, l'employeur pourrait ouvrir un bidon de vers en permettant l'alcool sur le travail.
En outre, il y a des idées fausses au sujet des effets de l'alcool. Tandis que certains croient que la biére est relativement inoffensive par rapport à d'autres boissons alcoolisées, les centres pour le déclarer du contrôle des maladies (CDC) qu'une boisson standard en Amérique est égale à 13. 7 grammes ou à 0. 6 onces d'alcool pur. Cette quantité d'alcool est trouvée en 12 onces. de la biére, 8 onces. de la boisson alcoolisée de malt, 5 onces. du vin et de 1. 5 onces. (un tiré) de la preuve 80 a distillé des spiritueux. En outre, les choses telles que l'âge, le genre, les conditions physiques et la quantité de nourriture consommés avant de boire toutes ont un impact sur la réaction d'une personne à l'alcool.
Service responsable d'alcool dans NSW
La responsabilité de l'employeur de la sûreté de d'autres
Avant qu'un employeur entreprenne une démarche d'introduire l'alcool dans le lieu de travail, cet employeur pourrait vouloir considérer les implications légales et financiéres de la décision. Ce type d'action devrait soulever des inquiétudes concernant des employés avec les issues d'abus de substance qui volent déjà sous le radar. Quelles sont les ramifications légales si ceci sert à aggraver le probléme ? Y a-t-il une différence dans la responsabilité de quelqu'un qui vient pour travailler sous l'influence ou se met de cette façon au travail, vraisemblablement avec l'appui de son employeur ?
Et que diriez-vous des employés qui sont altérés à la fin du jour de travail. Quelle est la responsabilité de la compagnie si l'une d'entre elles a un accident conduire à la maison ? La compagnie offrira-t-elle le transport alternatif ? Qui surveille des employés pendant qu'ils quittent le bureau pour s'assurer ils sont «route digne ?» Ce sont juste quelques unes des questions que les employeurs peuvent vouloir pour poser avant qu'ils présentent l'alcool dans le lieu de travail.
Le fait est que les employeurs équilibrent constamment les choix qu'ils font au sujet des santés et sécurité des employés, la productivité, le contrôle de qualité, les sujets légaux et les issues d'autre secteur. Tandis que l'embrassement du boire au travail peut sembler comme une maniére mûre et inoffensive de récompenser des employés, les conséquences de faire ainsi le besoin d'être soigneusement considéré.
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